Bec-croisé des sapins

Loxia curvirostra Linnaeus, 1758



  • 1 031
    observations

  • 28
    communes

  • 76
    observateurs

  • Première observation
    1982

  • Dernière observation
    2024
A.bonneron - Adamo Florent - Archimbaud Philippe - Belaud Maxime - Belleau Eric - Bensa Marion - Bergeon Jean-pierre - Bonnet Xavier - Bouvet Pierre - Brahim Julia - Breton F - Breton Francois - Breton François - Brosius Hervé - Castellana Aurélie - Chapelut Florent - Chavagneux Frédéric - Claudon Sylvie - Combeaud Stéphane - Crassous Claire - Cruz Camille - Deffarges Joss - Demontoux Daniel - Depernet Corentin - Dova Emmanuelle - Dunand Jean-luc - Durand Colas - E.baudin - E.pollet - F.goulet - F.poirier - Gallien Melissa - Geniez Philippe - Gineste Benoît - Girardon Christophe - Gnagni Rudy - Gorgerat Christophe - Guibert Angeline - Guillen Gregory - Guillory Quentin - Honore Sebastien - Icardo Emmanuel - J.charron - Jl.michel - Klein Ludovic - Krammer Mathieu - L.lubet - Labigand Benoit - Labrande Louis-jean - Laurent Olivier - Lebard Thomas - Letizia Et Philippe Fortini - Lhommedet Isabelle - Liborio Albin - Loireau Jean-noël - Lombard Georges - Malthieux Laurent - Mandine Jean-paul - Mansons Jérôme - Martin-dhermont Laurent - Messaoudene Virginie - Moisson Marie-cécile - Montigny Olivier - Opolka Boris - Ormea Patrick - Pardi Jean-luc - Perfus Monique - Philippe Et Letizia Fortini - Poirier Frederik - Rey Julie - Roux Sophie - Sana Emmanuelle - Scheyer Laurent - Toutain Yann - Turpaud Anthony - Zimmermann Laurent

Informations sur l'espèce

Ce curieux oiseau à bec « tordu » appartient à la famille des Fringillidés. De brun-gris strié chez le jeune, le plumage devient rouge brique chez le mâle et jaune verdâtre chez la femelle. Sédentaire, il habite principalement les forêts de sapins, épicéas et mélèzes, pourvoyeuses du gîte et du couvert. Bavard, il vit et se déplace en petits groupes bruyants. Sa période de reproduction est fonction de la disponibilité alimentaire du milieu. - PNE
Son gros bec, à mandibules croisées, est comme une pince coupante. L’oiseau s’en sert pour fendre les écailles des cônes afin de récupérer avec sa langue la graine ainsi délogée. Il laisse dernière lui ses restes de festins : les écailles des cônes, fendues longitudinalement, tombées au pied d’un conifère. - PNE
Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Loxia curvirostra corsicana Tschusi, 1912 | Loxia curvirostra curvirostra Linnaeus, 1758

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles