Rougequeue à front blanc

Phoenicurus phoenicurus (Linnaeus, 1758)



  • 514
    observations

  • 26
    communes

  • 64
    observateurs

  • Première observation
    2001

  • Dernière observation
    2024
A.bonneron - Archimbaud Philippe - Belaud Maxime - Belleau Eric - Bensa Marion - Bonnet Xavier - Bosc Estelle - Brahim Julia - Breton F - Breton François - Brosius Hervé - Canut Marie - Chapelut Florent - Chavagneux Frédéric - Claudon Sylvie - Combeaud S - Demontoux Daniel - Depernet Corentin - Dova Emmanuelle - Dunand Jean-luc - F.poirier - Fontanilles Philippe - Fortini Letizia Et Philippe - Gineste Benoît - Girardon Christophe - Gnagni Rudy - Gorgerat Ch - Gorgerat Christophe - Guigo Franck - Guillen Gregory - Honore Sebastien - Icardo Emmanuel - Jung Bachelery Marion - Klein Ludovic - Krammer Mathieu - L.lubet - Labigand Benoit - Labrande Louis-jean - Lebard T - Lebard Thomas - Letizia Et Philippe Fortini - Lhommedet Isabelle - Liborio A - Liborio Albin - Lombard Georges - Malthieux Laurent - Mandine Jean-paul - Mandine Jp - Martin Dhermont L  - Martin-dhermont Laurent - Mercier Remi - Ormea Patrick - P.arsan - P.pierini - Panneton M - Pannetton M - Philippe Et Letizia Fortini - Poirier Frederik - Priou Samuel - Roux Sophie - Sana Emmanuelle - Toutain Yann - Turpaud Anthony - Zimmermann Laurent

Informations sur l'espèce

Le rougequeue à front blanc est un passereau de la famille des turdidés. Le mâle arbore un plumage coloré, avec le dessus gris ardoise, la tête noire rehaussée d'un bandeau blanc – d'où son nom – , le poitrail orange et la queue rousse. La femelle est plus terne, brunâtre sur le dessus, fauve orangé en dessous. Migrateur, il revient d'Afrique début avril et repart en septembre octobre. - PNE
C'est un oiseau ayant besoin d'arbres à cavités, de préférence des feuillus, pour nicher. Cependant, s'étant adapté à l'homme, il occupe volontiers les vieux murs, les boites aux lettres et les nichoirs. Dans le territoire du parc des Écrins, il se tient souvent près des habitations, parfois dans le bocage et régulièrement dans les forêts de montagne, mélézins ou cembraies, jusqu'à 2 000 m. Son cri de contact est un « ouit » répété qu'il émet en hochant la queue. - PNE
Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Motacilla phoenicurus Linnaeus, 1758 |

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles