• 537
    observations

  • 27
    communes

  • 70
    observateurs

  • Première observation
    2001

  • Dernière observation
    2024
A.bonneron - Archimbaud Ph - Archimbaud Philippe - Belaud Maxime - Belleau Eric - Bensa Marion - Bergeon Jean-pierre - Bonnet X - Bonnet Xavier - Breton F - Breton François - Brosius H - Brosius Hervé - Bru Pauline - Canut M - Canut Marie - Castellana Aurélie - Cevasco Jm - Claudon Sylvie - Combeaud Stéphane - Deffarges Joss - Demontoux Daniel - Despesse Nadege - Durand Colas - F.goulet - F.poirier - Fontanilles Philippe - Fortini Letizia Et Philippe - Gallien Melissa - Girardon Christophe - Gnagni Rudy - Guillen Gregory - Icardo E - Icardo Emmanuel - J.charron - Jl.michel - Jm.cevasco - Krammer Mathieu - L.lubet - Labigand Benoit - Labrande Louis-jean - Laurent Olivier - Lebard Thomas - Lhommedet Isabelle - Liborio A - Lombard Georges - Lubet L - M.pannetton - Maison Rémi - Malthieux Laurent - Mandine Jean-paul - Mansons Jérôme - Martin Dhermont L  - Martin-dhermont Laurent - Moisson Marie-cécile - Montigny Olivier - Ormea Patrick - P.faucon-mouton - Panneton M - Pardi Jean-luc - Poirier Frederik - R.estachy - Roux Sophie - S.garnier - Salicis Sylvie - T.corbet - Terreau A - Toutain Yann - Zimmermann L - Zimmermann Laurent

Informations sur l'espèce

La pie-grièche écorcheur fait partie de la famille des passereaux. Elle est de la taille d'un gros moineau. C'est une espèce chez laquelle il existe un fort dimorphisme sexuel. Le mâle a la tête et le croupion gris cendré avec un bandeau noir sur l’œil, les ailes brun roux et la poitrine rose très pâle ; La femelle a la tête et les ailes brun sombre assez uniforme avec la poitrine blanc cassé à jaunâtre, barrée par de fins traits qui dessinent comme des écailles. C'est la plus commune de nos pies grièches. L'espèce niche le plus souvent dans des buissons épineux (épine vinette, argousier,...). Elle est présente chez nous de mai à septembre (reproduction) et part ensuite hiverner en Afrique tropicale. - PNE
La pie-grièche écorcheur a l'habitude d’empaler ses proies (gros coléoptères, petits oiseaux, micro-mammifères, …) sur des « lardoirs » constitués par les épines des buissons sur lesquels elle se poste (argousier, épine vinette, aubépine, églantier, …), mais aussi sur les fils de fer barbelés. Cette technique lui permet de se constituer un garde-manger et lui sert à immobiliser facilement ses proies pour les découper en morceaux. C'est une espèce en forte régression en Europe de l'ouest du fait de la disparition de son habitat par l'agriculture intensive (pesticides, engrais, disparition des bosquets, etc.). - PNE
Non renseigné pour le moment
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Lanius collurio collurio Linnaeus, 1758

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles