Pipit des arbres

Anthus trivialis (Linnaeus, 1758)



  • 2 005
    observations

  • 28
    communes

  • 71
    observateurs

  • Première observation
    1988

  • Dernière observation
    2024
-999 - A.bonneron - Archimbaud Philippe - Belaud Maxime - Belleau Eric - Bergeon Jean-pierre - Bonnet X - Bonnet Xavier - Breton F - Breton Francois - Breton François - Brosius H - Brosius Hervé - Canut M - Castellana Aurélie - Chavagneux Frédéric - Claudon Sylvie - Combeaud Stéphane - Crassous Claire - Deffarges Joss - Demontoux Daniel - Depernet Corentin - Dova Emmanuelle - Durand Colas - F.berthollet - F.poirier - Fontanilles Philippe - Fortini Letizia Et Philippe - Gallien Melissa - Gineste Benoît - Girard Pierre - Girardon Christophe - Gnagni Rudy - Guibert Angeline - Icardo E - Icardo Emmanuel - Krammer Mathieu - L.lubet - Labigand Benoit - Labrande Louis-jean - Laurent Olivier - Lebard Thomas - Leccia Marie-france - Letizia Et Philippe Fortini - Lhommedet Isabelle - Liborio A - Liborio Albin - Lombard Georges - Malthieux Laurent - Mandine Jean-paul - Mansons Jérôme - Martin Dhermont L  - Martin-dhermont Laurent - Mercier Remi - Moisson Marie-cécile - Opolka Boris - Ormea Patrick - Pannetton M - Pardi Jean-luc - Philippe Et Letizia Fortini - Poirier Frederik - Rauzier Adèle - Rebattu Guy - Rey Julie - Roux Sophie - Salicis Sylvie - Sana Emmanuelle - Terreau A - Toutain Yann - Turpaud Anthony - Zimmermann Laurent

Informations sur l'espèce

Cet oiseau de la taille d’un moineau a un dos brun tacheté, un poitrail de couleur chamois strié de noir, et un ventre blanc. Les deux sexes sont identiques. Espèce migratrice, cet oiseau des lisières forestières revient en avril dans les forêts claires et sur le massif des Ecrins, en particulier dans les milieux ouverts piquetés de mélèzes. Il trouve là de grands arbres servant de poste de parade au mâle mais c’est à terre qu’il se nourrit et qu’il établit son nid caché dans des herbes hautes. - PNE
D’avril à juin, on repère facilement le mâle lorsque, quittant le sommet d’un arbre, il s’élève à la manière d’une alouette en lançant des notes répétitives en crescendo puis se laisse tomber en parachute, ailes ouvertes et queue relevée, notes en decrescendo, pour retrouver son perchoir. Il recommence son manège inlassablement pendant une bonne partie de la journée. - PNE
Non renseigné pour le moment
Non renseignée pour le moment
Alauda trivialis Linnaeus, 1758 |

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles