• 494
    observations

  • 22
    communes

  • 69
    observateurs

  • Première observation
    1986

  • Dernière observation
    2023
-999 - Adamo Florent - Anglio Gregory - Archimbaud Philippe - Arsan Patrick - Barataud Michel - Belaud Maxime - Bensa Marion - Bergeon Jean-pierre - Berthollet Fabienne - Bonneron Armel - Bonnet Xavier - Bonvallat Rene - Brahim Julia - Breton François - Brosius Hervé - Cevasco Jean-marie - Chapelut Florent - Charmetant Raphaele - Chavagneux Frédéric - Claudon Sylvie - Combeaud Stéphane - Cosson Emmanuel - Demontoux Daniel - Drousie Mathieu - Durand Colas - Evenot Marc - Fontanilles Philippe - Gaillard Laurent - Garnier Stephane - Gaspard Olivier - Giordano Remo - Godgenger Marie - Gorgerat Christophe - Goulet Frederic - Guerin Boris - Guibert Angeline - Guigo Franck - Guillory Quentin - Icardo Emmanuel - Jamault Roland - Joulot Christian - Klein Ludovic - Krammer Mathieu - Labigand Benoit - Laurent Olivier - Lebard Thomas - Liborio Albin - Lotti Jean-michel - Malthieux Laurent - Mandine Jean-paul - Marcon Salomé - Martin-dhermont Laurent - Mercier Remi - Noblet Jean-françois - Pannetton Mathilde - Pardi Jean-luc - Perfus Monique - Pic L - Poirier Frederik - Pollet Emmanuel - Priou Samuel - Rey Julie - Rossi Gilbert - Secteur - Tordjman Patrice - Toutain Yann - Turpaud Anthony - Zimmermann Laurent

Informations sur l'espèce

Le petit rhinolophe est le plus petit représentant de la famille des Rhinolophidés chez les Chiroptères, ce qui évite toute confusion. Son nez en forme de fer à cheval est caractéristique. L’espèce hiberne dans des cavités et dépend du bâti l’été, notamment les combles et greniers. Elle recherche les paysages semi-ouverts où alternent bocage et forêt avec des corridors boisés continus (10m de vide semble rédhibitoire) et des milieux humides.
Le petit rhinolophe est un des exemples les plus frappants de régression des chauves-souris d’Europe. Les menaces qui pèsent sur l’espèce sont les suivantes : condamnation et dérangement de gîtes, perte ou fragmentation des habitats et des corridors, pollution chimique (pesticides, antiparasitaires bétail, traitement charpentes) et lumineuse. L’espèce est en effet particulièrement lucifuge. La région Sud PACA a une responsabilité importante vis-à-vis de cette espèce pour laquelle l’enjeu de conservation régional est fort. Le Parc national du Mercantour fait partie des principaux bastions régionaux de l’espèce.
Bâtis | Forêts d'adret | Forêts d'altitude et zone de combat | Forêts d'ubac | Forêts de chênes blancs et de pins sylvestres | Forêts de ravin | Forêts postpionnières | Fossés et canaux | Fourrés de saules et d'aulnes | Friches et broussailles | Grottes et autres cavités | Haies et talus | Hêtraie-sapinière | Lacs et mares | Landes montagnardes et subalpines | Lisières et clairières | Parcs et jardins | Prairies de fauche | Prairies humides, mégaphorbiaies et roselières | Reposoirs des troupeaux domestiques | Ripisylves | Rivières et torrents | Sources, suintements et mouillères | Tourbières | Vergers et vignes
Eurasiatique
Rhinolophus alpinus | Rhinolophus anomalus | Rhinolophus bifer | Rhinolophus bihastatus | Rhinolophus eggenhoffner | Rhinolophus helvetica | Rhinolophus hipposideros hipposideros | Rhinolophus kisnyresiensis | Rhinolophus majori | Rhinolophus minutus | Rhinolophus moravicus | Rhinolophus pallidus | Rhinolophus phasma | Rhinolophus trogophilus | Rhinolophus vespa

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles